Je me présente, Rachid ZENIA, auteur-compositeur et interprète, juriste, superviseur HSE, et je suis aussi apiculteur, natif de Tigzirt. J’ai fait sortir mon tout premier album en mars 2009. Il s’intitule « Imghim » qui signifie le germe.
Le contenu de ce produit raconte
l’amour, la vie, l’espoir, la paix, la patience et tant d’autres sujets
qui nous poussent à voir la vie d’un autre angle.
Mon enregistrement se
compose de huit titres que j’ai écrits et composés moi-même. Depuis ma
tendre enfance, j’ai adulé les instruments de musique et le fait d’avoir
une vieille guitare à la maison que mon oncle m’a offerte, m’a poussé à
découvrir la moindre des résonances de celle-ci.
Je me souviens étant
petit, je ne pouvais pas me permettre d’acheter de vrais fils pour mon
instrument. J’avais comblé ce manque par des fils de pêche. Avant tout
déjà, j’espère que mon premier labeur a obtenu la satisfaction des
mélomanes. Je veux continuer dans la même dynamique. Dieu merci,
l’inspiration est au rendez-vous et les textes de chansons ne manquent
pas. Pour mon style musical, je préfère dire la musique est sans
frontières (bruit musical).
J’ai fait publier mon dernier album en
juillet 2013, intitulé tighri n tsusmi (le cri du silence), Composé de
12 titres qui parlent dans le contexte suivant: Chaque limite qui nous
prend devient le début d’une merveille, le début d’une lumière qui
éclaire les jours, les cœurs, et qui pénètre les moindres recoins,
Laissant derrière elle tout un monde plongé dans la noirceur de la nuit.
Rien n’empêche le clair de lune de nous faire sentir l’amour, la paix,
et la joie…, comme parfois, il nous laisse seuls, Meurtris par les
regrets qui nous submergent. Même les plus grands nageurs n’ont pu
surmonter ce mauvais rêve. La seule source qui répond aux besoins de mon
Âme c’est la volonté, elle déchaîne des vagues de vouloir et qui durent
à l’ infini, tout en cherchant la voix d’équilibre et d’harmonie.
Malgré tous les écueils qui entourent notre navire d’existence, l’espoir
nous a permis de dire que dans ce texte se trouvent tous les titres de
mon album en kabyle : Tiziri d tafat i ɣ yeǧǧan a neḥulfu s tayri lehna d
lferḥ, llant teswiɛin anida leḥsab yesnarna assawen nettafed imen nneɣ
neɣreq. Tegla
ula s iɛwamen ɣef akken ur sawḍen ara ad ifriren di targit i deg i
zedren. Aɛwin id yettaren tiɣri i wayen akk ig yeḥwaǧ yixef-iw d lebɣi
degs id ttfeggiḍent lemwaji n yal ass. Ddunit taɛjel aḍer yefcel u
nekkni nettnadi talmmast yis ara newzen asurif meqbel as neḍleq, tidett
iɛerqas webrid ma d laṣel yadda hafi laman yeɣzayaɣtasreft. Ɣas
ma yeceḍ-aɣ w-awal ɣas ma qwent temcukal id yezzin i w-aflug n tudert
nneɣ asirem yeǧǧa yeɣ ad nini: pour ce qui concerne l’état de la chanson
en Kabylie et en Algérie, je pense qu’il y a deux choix, le bon et le
mauvais ; donc c’est aux auditeurs de choisir la culture et la
discipline sonore pour l’intérêt de notre kabylie et notre Algérie, car
la musique ou bien la chanson est un signe de paix qui révolte ça
liberté !
Merci mon frère Mourad j’espère que je n’ai pas trop abusé.
Bon courage et au plaisir.
Source: www.relais-medias.com
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